Voici Good People ! La marque d’objets et de bijoux artisanaux créés par une amoureuse du fait main, Iris Lelièvre, pour l’amour du fait main !
Elle adore fabriquer, peindre, assembler… Tout ce qu’elle crée, elle le fait par plaisir et pour vous faire plaisir.
Du ciel à l’océan, Good people saura vous transporter dans son Univers.
Iris marche à l’inspiration du moment et met un point d’honneur à proposer pour chaque objet/bijoux une expérience exclusive en jouant sur l’unicité de chaque produit.

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Pochoiriste, CIRT Hash interroge. Questionner les images, la société, la langue, les habitudes, est une nécessité. CIRT Hash a grandi avant internet dans la France dite du « rural profond », la découverte de la culture punk avec le groupe Guerilla Poubelle lui montre l’existence d’une culture pop alternative. Le pochoir est pour CIRT Hash le moyen de provoquer chez le spectateur une nostalgie de son adolescence, lui rappeler quels étaient ses rêves, peut-être ses valeurs, l’aider à s’affirmer.

Inscrit dans le mouvement post-graffiti, ses œuvres joue avec le cadre. Ses personnages représentés sur des fonds sont surnommés les Fantômes, seuls leurs vêtements les font apparaître en négatif, ils n’ont ni corps ni visage. Choix que l’on retrouve dans les matériaux qu’il aime utiliser, ceux que l’on cache d’habitude : des prospectus publicitaires, des plaques de plâtre, de l’OSB. Rien de noble.

Son travail est en collection à l’artothèque de Persan, la municipalité de Besançon et la Galerie Geth’art de Meaux.

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Félix Mujō développe une pratique artistique exploratoire et questionne notre rapport au monde, au temps et aux relations sociales.
En parallèle de sa production personnelle (fresques murales, acrylique sur bois, encres, aquarelle), il anime des ateliers artistiques notamment via l’association « Juste Ici » (organisatrice du festival d’art dans l’espace public « Bien Urbain »). Certaines des fresques réalisées lors de ces ateliers et pendant le festival sont visibles dans les quartiers des Clairs-Soleils et de Planoise.
Au japon, le concept de “mujō”, illustre l’impermanence et l’instabilité de chaque chose. Prendre conscience de l’éphémère, c’est apprécier l’imperfection, le mouvement de la vie et saisir l’instant présent.
La rencontre de Félix Mujō avec le graffiti l’amène à visiter des lieux isolés et oubliés. L’activité humaine s’est arrêtée ; la nature, lentement, silencieusement, a repris ses droits. Explorer ces environnements s’apparente à une quête dans laquelle on trouve ce que l’on ne cherchait pas.
C’est ce parcours exploratoire que l’artiste retranscrit dans sa pratique.
Il nourrit cette démarche avec une iconographie hybride mêlant références à la scène graffiti, l’illustration, le tatouage, les arts premiers et les cultures populaires.
L’animation d’ateliers participatifs axés sur l’expression artistique lui permet de partager cette quête exploratoire à travers des parcours ludiques.
Susciter la curiosité, éveiller l’envie de créer en stimulant l’imaginaire, la créativité et le plaisir d’expérimenter ! 

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Installée à Besançon, elle réalise des lettrages sur-mesure, peints à la main et/ou dorés à la feuille sur tout support. Elle intervient également dans la création de peintures murales, en intérieur et extérieur, et prends des commandes de personnalisation de panneaux peints et dorés à la feuille.

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Avec ses pinceaux, Marcelle Panthère milite. 
Elle peint des animaux sauvages, d’élevage, de loisirs, de spectacle, d’expérimentation (…) pour discuter des contours de l’humanité. 
Elle explore ainsi le rapport à l’altérité à travers la fenêtre du spécisme, et travaille une matière fertile, teintée de Féérie. 
En utilisant l’aquarelle comme médium avec des pigments métallisés, elle met en lumière les urgences du peuple animal à notre époque, et aborde les problématiques de cohabitation humains/animaux sous différents angles. 
La magie des fusions, la spontanéité, le mouvement ! Et l’incertitude. Cette dimension non contrôlable de l’eau qui fait ce qu’elle veut, libre et indomptable. Sauvage.
Les œuvres de Marcelle Panthère sont l’opportunité d’une Rencontre. 
Aller au devant de l’Autre, avec ses différences, et découvrir un terrain commun bien plus vaste que celui que l’on imaginait. 
Voir l’Autre et se rencontrer soi-même, dans une toute nouvelle dimension de sa propre humanité. 
Le concept d’ensemble est d’agir pour défendre les animaux à plusieurs niveaux : d’une part de sensibiliser sous l’angle de la Beauté pour faire naître des émotions positives, lumineuses, et enchanteresses. 
Et d’autre part de façon très concrète en assurant un soutien financier aux acteurs du quotidien, avec des dons aux associations pour chaque vente.
L’ensemble s’inscrit dans un process éco-responsable sans concession : papier d’art innovant et écologique, matériaux végans, circuits courts, sans plastique.

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POSITIONNEMENT

Se jouant des conventions, Mélitine fait un pas de côté dans ses créations.
Questionnant les savoir-faire, les matières et l’esthétique, elle pense que l’innovation passe par l’appropriation des processus afin de créer la différence avec ce que l’on a déjà afin d’apporter un peu plus de poésie dans le quotidien.
Designer d’objet passionnée de vintage, elle s’engage dans le design circulaire sous la marque Studio Mémé, avec des créations de pièces uniques à partir d’objets de seconde main. Elle les revalorise par un procédé innovant et sans re-cuisson de la porcelaine.
Studio Mémé travaille les contrastes avec la gravure d’un décor géométrique résolument actuel sur le décor originel. L’objectif est de rendre ces pièces de qualité à nouveau attrayantes et leur offrir une nouvelle vie. Jouant sur l’effet de superposition, l’ensemble intrigue et les temporalités se confondent, invitant à regarder de plus près.
À la frontière entre pièce utilitaire et œuvre d’art, une joyeuse nostalgie émane de la singularité de ces objets, transportant momentanément le spectateur dans ses souvenirs d’enfance.

BIO

Formée durant 6 ans au design produit à l’Ecole Boulle et L’ESAD de Saint-Étienne, le parcours de Mélitine Courvoisier est truffé d’expérimentations de matières autour de la céramique où elle se joue des conventions pour explorer plus loin la matière et les savoir-faire.
Enthousiasmée par la richesse du travail des designers-makers avec qui elle travaille aux Pays-Bas, elle ouvre de concert son studio de design et son atelier de porcelaine en 2016 où elle conçoit des objets autour de l’art de vivre des marques comme Gérard Bertrand et La Rochère. Par la suite elle se spécialise en création de vaisselle sur-mesure pour les restaurants gastronomiques, notamment pour le restaurant William Frachot (2 étoiles Michelin à Dijon).
Studio Mémé c’est son petit grain de folie qui éclot en 2021, qui lui permet d’allier de manière éthique, sa passion pour la brocante et sa vision du design à travers des créations uniques réalisées à partir de pièces de seconde main.

SLOGAN 
Vintage du futur

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